DÉVELOPPEMENTS EN SÉKIE.
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!ans ce
On aura donc
î pous-
'i — ¡3,
y ■=. C xt h- C'.vt' -i-. ..
avec l’approximation demandée.
; sa va-
Le premier terme de ce développement G^, qui est la va
leur principale dejp, sera évidemment le quotient des termes
s pri fi
A# x , BxP, valeurs principales de a et de c.
Si (3 >> a, les premiers termes de la suite y, yG • • • seront
négatifs. Dans ce cas, la formule de Maclaurin n’aurait pas
été applicable à la fonction y, car cette fonction, devenant in
finie pour x=o, serait discontinue, et ses dérivées égale
ment.
ni sera
e S est
86. Au lieu d’effectuer la division de a ( par c,, on aurait
pu, ce qui est au fond la même chose, poser
y — Cæ'i -h Cx'i' +. . .,
C, G', . . ., Y, yG • • • étant des coefficients indéterminés.
Cela posé, l’équation y = — pourrait s’écrire
JD — «i
ou
leman-
( G ¿t'ï -h Cx'i' -h .. ,)(B.ï? + B A'?' — A x a -t- A , Æ'“'-f-. . .,
ou, en développant les calculs dans le premier membre,
PJx*'.. ..
isqu’au
e degré
En exprimant l’identité des termes du second membre de
cette équation avec les termes correspondants du premier
ñon, T
membre, on obtiendra une série d’équations de condition qui
détermineront G, v, ....
Ainsi, par exemple, les premiers ternies
BGæv+t et Ax ,J
olhèse,
devant être identiques, on aura
P + Y = «,
BC =A,