DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE.
DÉVELOPPEMENTS EN SÉRIE. Io3
Des conditions précédentes
M/i-hl 'd £ > ^.i + 1 “I - Mn-h2 < C -■> • • • y M/i+l _r ~ • • • M;i+p ^ c 5 • ' •
(en valeur absolue)’, on déduit que u n+f , a ll+2 , • • • ? doivent
être < as en valeur absolue. Il est donc nécessaire, sinon
suffisant pour la convergence, que les termes de la série
tendent vers zéro quand leur indice augmente.
i aucune
110. Considérons, en premier lieu, les séries à termes po
sitifs. Les sommes successives s 2 , ■ • •, allant constamment
en croissant, tendront nécessairement vers une limite déter
minée si elles ne croissent pas jusqu’à co .
Hl. Théorème. — Soient
s — + m 3 + . . . et S -= e, + Pj +. . .
renant n
deux séries à termes positifs. Si l’on suppose :
i° Que la sériel soit convergente ;
2° Qu’à partir d’un certain rang tous ses termes soient
plus grands que les termes correspondants de s, cette der
nière série sera convergente.
En effet, si l’on prend n assez grand pour que l’on ait
ives s /n
mime N,
ité aussi
Vn-1-1 • • • ■+" V/i+p
quel que soit p, on aura, a fortiori,
que soit
elle que
H - . • . ~T~ £>
Si Von suppose, au contraire : i° que la série S soit di
vergente; 2 0 qu’à partir d’un certain rang ses termes
e, deux
féreront
soient moindres que ceux de s, cette dernière série sera,
divergente. Car on pourra déterminer, quel que soit n, un
nombre p tel que l’on ait
f/M-l H - • • • H” V li-hp ^- >
, s, t , ...
et, a fortiori,
Mn+i ”t~ ■ • - i ^a-hp £ *