Io6 PREMIÈRE PARTIE. — CHAPITRE III.
On aura
ÌÌ
{n -4- l) a — n a
o,n a H-.
V ^ y
— n
(/¡TV)*
n”~ -f-. .
Cette quantité tend vers a quand n tend vers oo . Il existe
donc une valeur p de n à partir de laquelle elle sera com
prise entre r et l’unité.
A partir de ce moment, on aura, si r >• i, d’où a. >> i,
-(-¥)>"(-
d’où
On en déduit
Vg+l
V n
Mn-i-i n,i.j_i , u n
Mn i’n V n-l-l V n
'jn-l
U».
Uu + o Crj.4-2 "V. ^V+2 >
fpH-1 Vu.
quantités respectivement moindres c[ue les termes de la série
convergente
° •
( ^|M-1 H“ ^jx-f-2 ”+■ • * • ) •
Donc la série s est convergente.
Si le sens des inégalités étant renversé, la série s
sera divergente.
116. Passons à la considération des séries composées d’une
suite de termes quelconques que nous supposerons, pour plus
de généralité, pouvoir être imaginaires de la forme a -)- bi.
Nous rappellerons d’abord, au sujet de ces expressions
imaginaires, quelques notions indispensables.
La quantité a -j- bi peut être représentée par un point P
{Jig. 3) ayant pour abscisse a et pour ordonnée b. Ce point
se nomme Yaffixe de a + bi.