APPLICATIONS GÉOMÉTRIQUES DE LA SÉRIE DE TAYLOR. 271
cera par leurs valeurs approchées x" dt, y" dt, z" dt. Il viendra
alors
A 2 + B 2 + C 2
(a?' 2 -h J ,2 + z' 2 )’ 1
dp.
Donc cp, qui est égal, au troisième ordre près, à sin o, aura
pour valeur approchée
y/A. 2 + B 2 -+■ G 2
x ' 1 ■+■ y 1 ■+■ Z ' 1
dt.
Nous appellerons courbure, comme dans les courbes
planes, la limite du rapport de F angle de deux tangentes voi
sines à l’arc qui sépare les points de contact. Cette limite est
évidemment égale au rapport des valeurs principales de ces
deux quantités; en la désignant par k, nous aurons donc
k
y/Â>-t-B 2 H-C 2
(a?'*-|-/* + -'2)4
I
R désignant le rayon du cercle osculateur.
Ce cercle, son rayon et son centre pourront s’appeler,
comme pour les courbes planes, cercle, rayon et centre de
courbure.
290. Angle de P qvec P t . — Cet angle <[/, égal à celui des
normales à ces deux plans, sera donné par la formule sui
vante, analogue à la formule (17),
2| _ (BaC — GaB) 2 -h(CaA —AaG) ? + (AaB — BaA) 2
&1 "' V _ (A. 2 + B 2 G 2 )[(Ah-AA) 2 + (B + AB)+ (C + aC) 2 J ’
au dénominateur, on pourra négliger A A, AB, AC; au numé
rateur, on les remplacera parleurs valeurs approchées
c/A — {y' z'" — z'y'") dt,
dB = {z' x'" — x' z m )'dt,
dC ±= {x 1 y"' — y'z'") dt.