PREMIÈRE PARTIE, CHAP. XI. n.5
deux équations ci-dessus du second enp et <7, on aura ces deux-ci,
p" cos q q" cos p
p'q' sin q * p' q' sin p *
dont la première étant multipliée par q', et la seconde par p', donne
ront ces équations primitives,
]p r l sin q -f- la , \q' =1 sillyt7 + l^,
ou bien , en passant des logarithmes aux nombres,
p'z=a sin q, q r z=zb sin p y
a et h étant des constantes arbitraires, qu’on déterminera par
les mêmes suppositions que ci-dessus ; d’où Ton aura
_ \/ ( A -f- B cos
a — ■■
. m
2 sin —
3
^ {/( A -f- B cos m) — {/( A -f- B )
. m
2 sin —
2
Les deux équations qu’on vient de trouver, pourraient donner
chacune une équation primitive en u et z par la substitution des
valeurs dq p, q, p\ q' • on aurait ainsi,
V/( A-j-B cos z) + p/(A+B cos u) — 2a sin ,
v/( A -f- B cos z) — ^/(A-f-B cos u ) = 2b sin
Comme les valeurs de a et h renferment l’indéterminée m, chacune
de ces valeurs pourra être regardée aussi comme indéterminée en
particulier • ainsi dans chacune de ces équations à part, on pourra
regarder a ou b comme constante arbitraire ; mais si on voulait
faire une combinaison quelconque de ces équations, il faudrait
employer les valeurs de a et b trouvées ci-dessus, et alors la quan
tité m serait la seule constante arbitraire.
Ces dernières équations étant compliquées de radicaux, il sera