PBEMIÈRJE PARTIE, CHAP. XIII, i55
ferons
f(x,j) = f(j:~ÆZ, y — yz) 4-P,
P étant une fonction de z qui devra être évidemment nulle lors
que 2 = o. Puisque la quantité z peut être quelconque, nous pouvons
prendre l’équation prime relativement à z, et par les principes et
la notation établis, il est facile de voir que la fonction prime de
f ( x — xz, y —yz ), prise relativement à z, sera
— xî’ (x~~xz, y—'yz)~~yi J {x—xz, y —yz)-,
donc , désignant par P' la fonction prime de P, prise aussi relati
vement à z , on aura , pour la détermination de P, l’équation du
premier ordre
1”=^' O“xz, jk—-yz) +/£(•* — xz, j—yz).
Considérons , en second lieu, les trois premiers termes du déve
loppement de i\x, y), et faisons
f (x, y) = f (j? — xz, y —jyz ) + xzf'( x—xz, y — yz)
-f-yzï t {x—*xz,jr — yz)-hQ,
Q sera une fonction de z qui devra, par la nature même de cette
équation, devenir nulle lorsque z — o. A cause de l’indétermina
tion de z, on pourra prendre l’équation prime relativement à z ;
et désignant par Q' la fonction prime de Q, on trouvera, après
avoir effacé les termes qui se détruisent dans l’équation prime,
cette équation du premier ordre pour la détermination de Q,
Q' — x*zî"(x — xz, y —yz) -f- 2xyzï] [x — xz, y — yz)
4-JK*zf„ (x — xz, y—jrz) ;
et ainsi de suite.
Pour déduire de ces équations les valeurs de P, Q, etc., il faudrait
chercher les fonctions primitives des quantités P', Q', etc. relati
vement à z, et les prendre telles qu’elles soient milles lorsque
z = o. Mais comme nous n’avons pas besoin des expressions gé
nérales de ces quantités , mais seulement de leurs valeurs relatives
à 3 = 1.-, que même il suffit d’avoir des limites de ces valeurs, on