2 42 . THÉORIE DES FONCTIONS.
p ? q, r étant les trois coordonnées d’an point quelconque de sa
surface, a , à, c les trois coordonnées qui déterminent la position
du centre, et d le demi-diamètre, ou le rayon.
En changeant dans cette équation <7, r en x ,7, 2, et prenant
ensuite les deux équations primes suivante etj, on aura ces trois
équations.
{x — îz) 2 + (7 — £)*-+• (z — c) 3 — d* = o ,
X CL —}— Z* {z c)= o ,
h 4- Z/ (z —£?) = 0 ,
par lesquelles on pourra déterminer d’abord les trois constantes
a, b, c} on trouvera ainsi
. dz'
1 t/( l +a 2 -f- * y )
j , dz
*•“• r + »/(i+*"+*;) ■
_
c — z +»"+0'
et le rayon d sera encore arbitraire.
La sphère déterminée par ces élémens sera donc tangente de
la surface, et par conséquent son rayon sera perpendiculaire
à la même surface. Ainsi en regardant la valeur de ce rayon
comme indéterminée, les trois quantités a, b, c seront les coordon
nées de la perpendiculaire à la surface , d étant variable, et x ,j,z
constantes.
Si l’on veut avoir ces élémens a , b, c, ainsi que les angles a et jS
de l’article 5q, exprimés en différentielles, il n’y aura qu’à re
présenter les fonctions dérivées z r 9 z t par les différences partielles
dz dz
dx 1 dy
45. Pour que la sphère devienne osculatrice de la surface , on
aura encore trois autres équations, qui seront les trois équations
secondes de la première équation ci-dessus; mais comme il ne
reste plus qu’une arbitraire d, il est clair qu’on ne pourra pas sa
tisfaire à toutes ces équations ; d’où il suit qu’il est impossible de