PREMIÈRE PARTIE, CIIAP. I. *3
radical, devient après la division par i,
i = 2P y/ x + ¿P* 3
faisant i = o, P devient p, et Ton aura
i = 2/Vx; d’où P=~^-
On fera donc P=/?-}-iQ, ce qui étant substitué, on aura, après
la division par i,
°=è +2Q ' /a;+ ^ +i ‘ Q ’-
Faisant i = o, Q devient q ; donc on aura
d’où l’on tire
\x
2q\/x
o ;
^ Bjc y x *
On fera donc Q = <7 -f- ¿R, et ainsi de suite.
On peut, à la vérité, trouver les valeurs de p, ç , r, etc. d’une
manière plus expéditive, en faisant tout de suite l’équation
\/{x -f- i ) = [/x -hpi -f- qi 1 -f- ri z H- etc. ;
l’élevant au carré pour dégager la quantité i de dessous le signe,
et comparant ensuite les termes affectés des mêmes puissances
de i, pour que cette quantité puisse demeurer indéterminée ,
comme on le suppose ; mais la méthode précédente a l’avantage
de ne développer la série qu’autant qu’on veut, et de donner la
valeur exacte du reste. En effet, si on voulait, par exemple ,
s’arrêter au second terme pi, on aurait Qi* pour la valeur du reste,
et on pourrait déterminer Q par la résolution de l’équation en Q,
Dans l’exemple ci-dessus, cette équation est
¡‘Q’ + Q (2\/x 4- —) + X = 0y
et pour la résoudre de manière que l’expression de Q ne présente