des Termes intermédiaires des suites. 263
le, à la demi-commune diftance des ordonnées , fera égale à
1 — 1 + i — T 4 J 4- j — 4 4 p "+■ & . c * ” 4 ( i — 7■+“Tô — TF
-h ôcc. ) Donc , fi la fomme de la fuite 1 — i “4 7 — tV 4- 77
-— ~ -4-ôcc. ( qui peut fe calculer aifément, par farticle 84^.)
eft défignée par N, on aura nt y = 4 — 4 N. Si A F = 1, B E
= j- 9 CK = i,DL=Tj, ôcc. & A-tt — ^ A Bon aura
= 1 — |-h j — j -h ôcc. qui eft égale à la huitième partie de
la circonférence } dont le rayon eft l’unité.
8 jj*. Lorfque les termes peuvent être continués fans fin,-ôc Fig. 318.
que leurs fécondés différences décroiffent, enforte qu’enfm el
les difparoiffent ; foit K la derniere valeur des premières diffé
rences des
iwmwo J
l’excès de la fomme des principales différences AF H- BE
+ CR, par deffus la fomme des différences intermédiaires,
he-]-ck~\~cll-+- ôcc. parce qu’en ce cas 9 les Fluxions de r v
Ôc xy difparoiffent à la fin. P N eft à la fin égal à f H—~ 9
q a K x xr — K (AB — A'?r) i ôc par conféquent v =
e= ’^ïî~ K + AF — ff+BE — Î-A-+-&c. On peut
appliquer un Théorème femblable au cas, où les fécondés dif
férences des termes approchent continuellement d’une certaine
limite.
8y£. La fuite 1, 1. 1, 1. 2, 1. 2. 5,1. 2. 5. 4, 1. 2. 3. 4. y *
ôcc. étant propofée, on demande le terme qui eft entre les deux,
premiers termes principaux, à égales diftances de chacun. Les
différences des logarithmes des termes, font logarithme 1 , lo
garithme 2, logarithme 3 , logarithme 4 f logarithme 5:, ôcc»
ôc les ordonnées de la figure F M.f étant fuppofées repréfenter
ces logarithmes, les ordonnées intermédiaires feront logarirh-
nie{, logarithme {, logarithme J-, logarithme-f-, Ôcc. Donc
le logarithme du terme requis eft -5—h logarithme 1 •—• lo
garithme ~ -H logarithme 2 — logarithme ~ -f- logarithme 3
—- logarithme - ôcc. qui eft égal au logarithme de la der
niere valeur de f. f. f. -J ~^~T ^ 11 4" 1 “ (F arce qui
a été démontré dans l’article 842. d’après le Do&eur Wallis, )