LIVRE I.
= EF, je dis
e l’angle D,
lx cotés DE,
le théorème
md que EF ;
le D, il s’en-
; EF; or, BG
être ni plus
1 lui est égal.
— E , et que
droits; donc la ligne menée du sommet d’un triangle
isoscele au milieu de sa base, est perpendiculaire a.
cette hase, et divise Vangle du sommet en deux parties
égales.
Dans un triangle non isoscele on prend indifférem
ment pour base un côté quelconque, et alors son
sommet est celui de l’angle opposé. Dans le triangle
isoscele on prend particulièrement pour base le côté
qui n’est point égal à l’un des deux autres.
PROPOSITION XIII.
angles égaux
angles égaux
EF.
gles opposés
aura l’angle
int D, milieu
ADG, auront
n ; savoir AD
BD = DG par
ne précédent,
THEOREME.
Réciproquement, si deux angles sont égaux
dans un triangle, les côtés opposés seront égaux,
et le triangle sera isoscele.
Soit l’angle ABC=ACB, je dis que le côté AC sera
égal au côté AB.
Car si ces côtés ne sont pas égaux, soit AB le plus
grand des deux. Prenez BD=rAC, et joignez DG.
L’angle DBG est, par hypothèse, égal à ACB; les
deux côtés DB, BG sont égaux aux deux AC, CB ;
donc le triangle DBG * serait égal au triangle ACB.
Mais la partie ne peut pas être égale au tout; donc il
n’y a point d’inégalité entre les côtés AB, AG ; donc
le triangle ABC est isoscele.
% 29-
* pr. 6.
PROPOSITION XIV.
est en même
, angles égaux.
ACD, prouve
DAC, et que
derniers sont
THÉORÈME,
De deux côtés d’un triangle, celui-là esile
plus grand qui est oppose a un plus grand
angle, et réciproquement, de deux angles d’un