LIVRE II.
, moitié de DE;
le troisième côté
ne, i° les deux
ent éloignées du
î que DE, l’arc
ME * : sur l are
, tirez la corde
sur cetîe corde,
est clair que GF
grand que CI * ;
Mais CF—CG,
;ales ; donc on a
les la plus petite
G
' à Vextrémité
ci la circonfé-
gue que la per-
liors du cercle;
ommun avec la
mte*.
point donné A
férence ; car si
ci ne serait plus
par rapport à
ait une oblique,
entre sur cette
loue cette pré-
e 3 et serait une
4i
PROPOSITION X.
THEOREME.
Deux parallèles AP , DE, interceptent sur la %. 55.
circonférence des arcs égaux MN, PQ.
il peut arriver trois cas.
i° Si les deux parallèles sont sécantes, menez le
ravoir CH perpendiculaire à la corde MP, il sera en
même temps perpendiculaire à sa parallèle NQ ¥ ; donc * 2 3, b
le point H sera à-la-fois le milieu de Гаге МНР et
celui de l’arc NHQ*; on aura donc l'arc MH=HP, *6.
et l’arc NH^rîIQ: de-là résulte MH—NH=HP
—HQ, c’est-à-dire MN=PQ.
2° Si des deux parallèles AB, DE, lune est sé- %• 56,
cante, l’autre tangente; au point de contact II menez
le rayon CH ; ce rayon sera perpendiculaire à la tan
gente DE % et aussi à sa parallèle MP. Mais puisque *9.
CH est perpendiculaire à la corde MP, le point II est
le milieu de Гаге МНР; donc les arcs MH, HP, com
pris entre les parallèles AB, DE, sont égaux.
3° Enfin si les deux parallèles DE, IL, sont tan
gentes, l’une eu H, l’autre en K, menez la sécante
parallèle AB, vous aurez, par ce qui vient d’être dé
montré, MH—HP et MKrrrKP ; donc l’arc entier
HMK=HPK, et de plus on voit que chacun de ces
arcs est une demi-circonférence.
PROPOSITION XI.
THÉORÈME.
Si deux circonférences se coupent en deux
points, la ligne qui passe par leurs centres sera
perpendiculaire à la corde qui joint les points
cTintersection, et la divisera en deux parties
égales.