DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. io3
On trouvera ensuite par de semblables transformations,
G 0 = (G 00 — | B° sin <p 00 )
G 00 = (G° 00 — ~ B 00 sin <p°° 0 )
etc.
Ainsi la formule intégrale G se ramène successivement aux inté
grales semblables G°, G°°, G 000 , etc., et une seule de ces intégrales
suffit pour déterminer toutes les autres.
Supposons que cette suite soit prolongée jusqu’à un terme G‘ w
assez éloigné pour que le module correspondant c^ soit de l’ordre
des quantités qu’on veut négliger ; alors on aura A /y '= i , et la valeur
de G^ se réduit d'abord à/( A^-f-B'“ sin®^) d(p M ; observons ensuite
qu’on a B° = i Bc°, B°° = i B°c 00 = i Bc°ç 0 °, B 000 =| Bc°c 00 c 00 °, etc. ;
donc la suite B % B°°, B 000 , etc. décroît plus rapidement que la suite
c°, c°°, c°°° } etc. Donc on peut faire, après un certain nombre de
termes, B // =o,ce qui donnera G‘ u = A!'' = A'" , O étant
la limite des angles <p, ^ <p°, ^ <p°°, etc.
A l’égard de A'“, puisqu’on a A°= A-f-^ B, A 00 s= A 0 -f-£ B°,
etc., l’expression générale de A^ sera
A + 7 B ^
c c°
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H"
-f-etc.^i
Maintenant il est aisé de voir que la valeur de G, déterminée par
celle de G^, est composée de deux parties ; l’une KA^tD , K dési
gnante produit (i-j-c°) (1-f-c 00 ) (1-J-c 000 ), etc., l’autre algébrique ou
périodique, savoir :
(—) ï Sm * ~ C—) (“T'0 ~4~ Sm *
etc.
Mais comme on a 1 + c° = - , 1 + c 00 = ÜAf- . etc., cette
e c° 7
seconde partie peut se mettre sous la forme
„ . l/c°c 00 . \
sm —sm <p 00 -f- etcQ.
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