DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. i55
Mais les quantités i — cos A-“” 1 , nf*— sont de l’ordre h, et par
conséquent négligeables ; on a donc plus simplement
i — lo^— — t _J_ t 1 1 _ arc tang \/nP~ l
La'“ ° bP ’ cos' ’ * —
H
COS A * COS A' * ■ * * cos A^" 2 ’ y/n^-
].
formule où il faudra substituer la valeur connue de L^ et celle
de T = ( .+¿0 (i+ r )... (. 4-^-) = . %*-. *JÇ., etc,
ce produit étant continué jusqu’à ce que le nombre de ses facteurs
soit jx — i.
Telles sont les formules les plus simples par lesquelles on pourra
calculer les valeurs des fonctions II et H 1 , lorsque le module c est
extrêmement près de l’unité ; elles donneront tel degré d’approxi
mation qu’on voudra obtenir, en prolongeant suffisamment les séries
qui les composent.
(g5). Si on compare maintenant celte seconde méthode avec la
première , on ne manquera pas de remarquer que celle-ci n’est
sujette à aucune exception, et qu’elle n’exige ni considérations de
limites, ni transformations; il est donc préférable d’employer la
première méthode , même dans les cas où c serait fort près de
l’unité, puisqu’alors celte méthode n’a d’autre inconvénient que
celui d’employer quelques termes de plus, et le nombre de ces
termes ne peut jamais être bien grand.
Nous remarquerons encore qu’on peut simplifier à quelques égards
les formules de la première méthode, en employant des angles
subsidiaires A 0 , A 00 , A 000 , etc. pour calculer tant la série des para
mètres /2°, n°°, etc. , que celle des quantités A, A°, A°°, etc. , à
l’exemple de ce que nous avons pratiqué dans la seconde méthode.
Pour cet effet on aura les formules successives
I-f/7 = b col 2 iA°
=b° cot 2 ^A 00
1 —{—/¿ 00 =b°° cot*|A°° 0
tang j A 0
tang i A
=VGi)
etc.