DES FONCTIONS ELLIPTIQUES.
ou aura donc
1S7
n («', *, 9)- F (i, 0) = a. AF (i, 6) - «a/
sin cos<p
dù sin 2 3
WJ) 9
d’où l’on voit que le premier membre se réduit à zéro, lorsqu’on fera
ca=o, et qu’ainsi la supposition de <p=|7T donne cette formule
A (b , 6)
sin 6 cosò
H 1 (/?, c) = -f-
—F 1 ^) E(¿,6)—E 1 (V)F(¿, 8)
(*)•
Toutes les fois donc que le paramètre n est positif, la fonction com
plète de troisième espèce IT(/z, c), pourra toujours se déterminer
par des fonctions de première et de seconde espèce, savoir, par
les fonctions complètes F'(c), E 1 (c), qui se rapportent au mo
dule c, et par les fonctions non-complètes F (Z>, 6), E (b, 6), qui
se rapportent au module complémentaire b, et dont l’amplitude 9
se déduit du paramètre n par l’équation cot B = \/n.
Ce théorème est très-important dans la théorie des fonctions
elliptiques , et son usage sera d’autant plus étendu , que dans beau
coup de problèmes de géométrie ou de mécanique , qui dépendent
des fonctions elliptiques , on. n’a souvent besoin que des intégrales
définies ou complètes. Nous en donnerons ci-après diverses ap
plications.
(97). Si dans Féqualion (’b') on met — à la place d en, et qu’on
fasse — = cot 2 A, afin de mettre en même temps A au lieu de 6 S
on aura
sin À COS A
-rfin A
co S . A ^^) F 'W + F 'W F (^ A )
— F’(c) E (b, X) — E'(c) F {b, K).
Mais, en vertu de l’équation c*=.n cot a A ou c tang 9 tang A = 1 ,
qui se rapporte au module bj on a (n° 18) F(¿,fl)-f-F(£,A)=F , (Æ),
E {b, 6) + E (b, A) = E*(^) + b 1 sinÀ sinô; on a en même temps
sin A
eos3
A
A (M)
sin S cos ô
(6,6)’ C0SÀ — A (b,/.)’ —
A(b,6)
= \/et.
sin A COS A 1