DES FONCTIONS ELLIPTIQUES.
En effet, soit n si on suppose
FI = M(p — N sin 2<p -f- P sin4<p — Qsin 6<p -f- etc. ,
et qu’on différentie chaque membre par rapport à <p, il en résultera
une valeur de ~ qui étant comparée à celle de l'article précédent,
donne les équations
N = ~ ( A — M) + M
aP = — ( B — N ) — aN — M
5Q = A(C-P)-4P -N
4R = if(D-Q)-6Q_aP
etc.
D’où il suit qu’en supposant toujours A, B, C, etc. connus, il suffit
de déterminer le premier coefficient M pour connaître tous les
autres. Or en faisant <p = ~ rt, on a FI 1 — Ainsi M se dé
termine par la fonction complète IP, laquelle ne dépend que des
fonctions de la première et de la seconde espèce.
On pourrait aussi déduire la valeur de M de celles des coefficiens
A , B, G , etc., au moyen de la formule connue ■ tv =5
y y y y j 14-« sm 2 (£>
1 2ct cos 2Ç> -f- 2a 2 cos 4<p -f- etc., où Ton a a = ^ | lj:'\ '>
car en multipliant les deux membres par ~ et intégrant depuis
<p = o jusqu’à <p = i tT, on aura
M \/{ \ + «)= A— 2Ba-j-4Ga 2 — 6Dx 3 -f- etcj
Surface du cône oblique.
( 123). Considérons d’abord le cône oblique à base circulaire, fig. h.
Soit S le sommet du cône , G le centre de la base , SO la perpen
diculaire abaissée du sommet sur le plan de la base , SAB la section
faite dans le cône par le plan SCO. Si on fait le rayon CA = 1, la
hauteur SO =h 9 la distance CO =/4 et qu’on appelle co l’angle