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DES INTÉGRALES HITLÉRIENNES.
d’où l’on tire successivement
M.
M 3
Sin 2 ®
= A,
sin ®
A a A 3 sin 3« sin
A t * sincasina®
A3A4A5 sin 4 a sin 5ca sin 6-0
~~~ A r A a ' sin ® sin 2® sin 3®
etc.
333
Ces équations , qu’on peut mettre aussi sous la forme
A t = M t .
A 2 A 3 M 2
A t A t M, *
A4A5 M3
A a A a M¡
etc.
sin 2®
sin 2 2®
sin3® sin 4®]
sin 2 3®
sin 5® sin 6® '
(»);
serviront à déterminer les auxiliaires A,, A,, A 3 , etc. au moyen
d’un égal nombre de quantités M,, M a , M 3 , etc. ^ prises dans
l’ordre convenable. On pourra donc exprimer par ces dernières
quantités toutes les fonctions ^ ~ qui répondent à une même
valeur de n.
Mais il faut observer que ces substitutions ne peuvent s’effectuer
que pour des valeurs particulières de n, et qu’ainsi par l’emploi des
auxiliaires M a , on ne peut parvenir à des formules aussi générales
que le sont les formules (k) et (n).
(i3). Considérons maintenant la formule
si on fait x~ n
•j-f-7 ]/(i — z n ) y on aura la transformée
(—)=*--A
z a ~'dz
Vi 1 H-2.")
(v).
dans laquelle il faudra prendre l’intégrale depuis z = o jusqu’à
zz= 00, et qui d’ailleurs suppose a <i {n. Mais en vertu des équa-*
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