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DES INTÉGRALES EULÉRIENNES.' s4 7
dtp (x) = dx (i + ^ + etc.) = ^ log (f±/) ,
d’où
»<->■=/= >«s(S>
Mettons P^ ace de ^ nous aurons semblablement
/i —P dx -,
Ht+- x )=Jt=^ 1o s x -
Ajoutant ees deux équations et effectuant l’intégration indiquée ,
<P (•*) + <P (j^D = <f> 0) + i log X log (~/).
On a ajouté la constante <p (i), afin que les deux membres soient
égaux lorsque x = o. Quant à la valeur de <p(i) , elle se déduit
de l’équation <p (æ) = 4 (•*) — i 4 C^ 2 )? qui donne
= de sorte qu’on aura
? (*) + <p (ttD = T+ i lo S x lo 8 (i=f)
Donnons maintenant à x une valeur particulière telle que =: x ÿ
il en résultera x = y/a — i = ^ ; et d’après cette valeur , on aura
9 (>) — ^ i lo g>
On connaît donc quatre valeurs diverses de (p (x) , comme on en
connaît quatre de 4 (#) ; car la valeur connue <p (£) en fait con
naître une autre (p > ou <P( 2 £ — i) = <p(\/5 — 2). Ainsi les
valeurs de x pour lesquelles (p (x) est connu, sont x= 1, x= Q
= — î + î \/ 5, 2C 1 S= y/5 2, XZ=yz= y/2 I.
(27). Pour pousser encore plus loin ces recherches, considérons
la fonction
+ J- +|r + etc.,
qui en général est une transcendante fort composée, puisque c’est ira
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