264 SECONDE PARTIE.
mation, par les belles me'thodes qu’Euler a données pour cet objet
( Cale, diffpag. 4$i et suiv. ).
Au moyen de ces diverses quantités, on connaîtra donc les inté-»
grales suivantes , déduites des équations de Fart. 5q.
A
dx
{/(i—xj)
*dx log —
x
]/(l—xx)
'dx log 2
loga
p'(l—xx)
*dx log 3 -
= ï( l0 S* 2 +n)
1 (log 5 2 + 3log2.^ + ®S 3 ),
\/(i—xx)
et on pourra prolonger indéfiniment cette suite où tout est connu,
excepté S 3 , S 5 , etc. dont on connaît au moins les valeurs très-
approchées, jusqu’à S, 5 ( Cale, diff., pag. 456.}.
V De la réduction des transcendantes désignées par (a, n) w .
(44)- Occupons-nous maintenant de réduire au plus petit nombre
possible les quantités (i ,n) m , (a,/z) m , (3,n) m , etc. qui répondent à
une même valeur de n. Pour cet effet, reprenons l’équation (F), et
substituons-y la valeur de B donnée par la formule (c f ) , nous aurons
f ( r \z.A—)i d f— a cot aa> - (“')
D’où l’on tire, en différenliant successivement par l'apport à a,
rri'+r—L d ,o„ i =
J i —y n J ° y sirC
1 ry a - 1 -y«-«- 1 7 , 1 « 3
- — n c/rlog 2 - = -r-T. cosaca \ /-»s
a J i —y n J ° y sur aw / (P /
ï ry*-*.
2.3 J 1 y n
■r-'+r— dj i og 31 _ Q +| cos* a*)'
etc.
Mettant au lieu des premiers membres les valeurs qu’ils ob
tiennent