DES INTÉGRALES EULÉRIENNES. 2 65
tiennent par le développement en série et l’application de la for
mule (g*) y on aura
(a^nY + (n — a,ny = ~—
v 7 ' ' 7 sir CICO
3
(a. n) 3 -4- (n — a, nY = -t~4— cos aco
> 7 ' ' 7 ' sia 5 aco
{a, ny+{n-a,nY = (g+g cos“ aco)
etc.
Ces formules serviront à établir entre les diverses quantités (a, 7?) m , qui
répondent à une même valeur de n 9 toutes les relations qu’on peut
obtenir par d’autres voies, et qui sont données sous diverses formes
dans les ouvrages d’Euler. C’est ce que nous allons développer dans
deux exemples.
(45). Soit 6 et m = 2 , on aura l’équation générale
Ça , ny -f- (6 — a, 6) z = —^— ,
* 7 7 v 7 7 sm 2 aco 3
d’où Eon déduit successivement
Cl 6) 2 + (5.6) 2
(2, 6) 2 + (4,6) a
(5,6)“ + (5,6)*_ Bn .„
SU! 2ffl
® 2
(O
ce qui donne en substituant la valeur co = ^,
(1.6) “ + (5,6)“= £
( 2 .6) “ + (4,6)“= £
(3,6)“ = ^-
La somme de ces équations est
0-sD s -=It6.**»
d’où l’on déduit S a = ~ ce qui est un résultat connu, mais la
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