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aura enfin
TROISIÈME PARTIE,
Z (i ) = (i + n) e 11 y/(pjnt) =: ( i -{- n) Z (o).
( a )
(62). On pourrait calculer de la même manière les valeurs de
Z ( 2 ) , Z(3), etc. Mais la loi de progression de ces quantités
est facile à trouver ; en effet, si on difïêrentie la quantité.,..
/i+a:x\
V 2 nx J
2k-¥-l
T=:x
, 011 aura
j, 2k—\ _ Çi+.r,r\ 2fc+i __ f\-\-xx\
dT = ——- x 2 ¿Ar.e v. 2nx ) -4~x 2 {— —)dx.e ^ 2nx '•
2 \211X 211/
Intégrant et observant que T s’évanouit aux deux limites de l’in
tégrale , on trouve
_ o = 놱lZ(*)+iZ(*-.)-iZC* + i),
d’où résulte
Z (A-h 1) = ( 2 *4* 0 " Z (A) 4-Z (A — i).
Ainsi on aura successivement
Z (2) = 5/zZ (i) -f Z (o) = Z (o) ( 1 + 5л + 3/г*)
Z (3) = 5/zZ (2) + Z (1) = Z (o) ( 1 4- 6/г 4- гб/г* 4- ï^/г 3 )
etc.
L’expression générale de ces quantités est
(3)
Z(A)=Z(o).[i +
h+ 1. k
h —f— 2, h —j— 1, h. h — 1
n -f- ——— 1 ; 1 /г*
2 2.4
A-f-g.A-J-a.A-f- 1 .k.k — 1 ,k
2.4,6
/г 3 4- etc.^J ;
(4)
ce qu’on peut aisément vérifier par la substitution dans l’équation
(3). La série que nous rencontrons ici suit donc la même loi que
celle qui a été représentée ci-dessus par A k (art. 43).
Cette formule a également lieu lorsque h est négatif, et elle
donne immédiatement Z (— k — 1) = Z (A) ; c’est aussi ce qui
résulte de la considération directe des intégrales. En effet on a
généralement
2Ä-
f
Z ( A) rrr:/( x 2 4“ x ^ 2 '
( I -4-зг.т\
2 nx )
cette intégrale étant prise depuis x = 1 jusqu’à x =