QUATRIÈME PARTIE. SECTION IL
C', etc., suivant cette loi très-simple :
H 1= =
H 3 =
H 5 =
I
6>
3 5 C'
2.3.4-5.6
a9Ë /
2.3....lO
94$’
I
g5555 5
tt J_
* 2.3.4 qo 9
H 4 - -
2.3 8
2 n F'
945o 5
691
14'
2.3.... 12 630460825 9
etc.
Ces valeurs peuvent se prolonger jusqu’au quinzième terme, au
moyen de la table des nombres Bernoulliens qu’on trouve dans
le Calcul différentiel d’Euler, page 4 2 ° ? mais on voit que ces
valeurs deviennent fort compliquées dans les termes ultérieurs , et
il est préférable de calculer les coeffieiens H m , à compter de m = 6,
g
par la formule H m = ^; car 7est toujours connu avec tel degré
d’exactitude qu’on peut desirer, et la valeur de S am est donnée avec
seize décimales exactes dans le tableau de l’article y3 ci-dessus.
D’ailleurs comme tt 2 diffère peu de 10, on voit que la valeur de H m ,
qui peut être mise sous la forme -f- — 1 , pourra toujours être
calculée avec 16 -f- m décimales exactes. Lorsque m sera >17,
l’exactitude sera encore plus grande en prenant H m = + —p.
Ainsi la suite H 5 , H 2 , H 3 , etc, , finit par se confondre avec une
progression géométrique décroissante dont la raison est Ce dé
croissement est plus rapide encore dans les premiers termes, puis-
qu on a H a = ^ H, , H 3 =^H„ H 4 =^H 3 .
(162). Nous avons remarqué que les séries qui résultent du dé
veloppement des quantités cot ¿y, lang u>, , log — , se dé
duisent facilement de l’une d’entr’elles. II n’en est pas de même de
la suite qui résulte du développement de la quantité ou séc m ;
elle ne peut en aucune façon se déduire de celles dont on vient
de parler, et ses coeffieiens doivent être déterminés par un calcul