CINQUIEME PARTIE. § Y. l9î
au moyen des fonctions Z' (a) dont on a montré l’usage dans le
§ I. Elle sera d’ailleurs de'terminable par arcs de cercle et par loga
rithmes , toutes les fois que m sera rationnelle. C’est ainsi qu'on,
trouve, dans les cas de m= i et m = {, les formules
dx
f
f
(e* x + e * x ) (i + x*)
dx
7T i
= lo£f 2.
7CX 1 „—•7TX\ r i i qn O
m
§ Y. jDe Vintégrale J'
x m dx sin x
cos x
5i. Supposons d’abord a < i , et soit a = cos Q ; cette valeur
peut représenter une quantité négative en prenant G>|:r; mais
pour plus de simplicité , nous supposerons 6 <Ü \ tt , et nous con
sidérerons séparément les deux intégrales ;
p Ç x m dx sin x j-v Ç
J cos x + cos è 9 ^ J
x m dx sin x
cos x
cos 0-
que nous supposerons prises toutes deux depuis x =o jusqu’à une
même limite x = et.
Les quantités P et Q sont des fonctions de et et 6, qu’on peut
désigner par P(«,G), Q (et, G), et ces fonctions ont cntr’elles
des relations qui méritent d’être remarquées. On a d’abord
sm x cos X
cos 2 0
ou, en faisant 2x = z,
' P 4- Q = 2- OT Ç zmdzsinz f 2 = o
^ J COS Z COS 20* 1 Z Z= 2«
L’intégrale en z n’est autre chose que la fonction Q dans laquelle
on mettrait 2ct et 20 à la place de et et 6 ; ainsi on a généralement
(0 p (^, G)+ Q (a, G) = 2~ m Q(2a,2G).
52. D’un autre côté, si on ne fait aucune hypothèse sur la gran-