La loi de cette suite est facile à apercevoir, et on aura en général
pour coefficient dej n la somme des termes représentes par
(— i ) A+i d k+i ~' (<p s a'’4/)
(i .2.3. . .k) (x .2.3. . ..i)da k+l ~ 1 9
en donnant a k et i toutes les valeurs en nombres entiers qui satis~
font à F équation k~\- 2i
Corollaire IV.
97. Soit proposé Féqualion a = x -{-j/<p (x) -\-j*A (x) ~\-j*!a(x)
q> (x), h(x), jx(x) étant des fonctions données de x, on trouvera
par des calculs semblables
400=4 —jH'
2 da
d 2 (<p 3 ^)
-var.^
J l_i .2.3 dà
A4']
d ( <pA]/)
da
d, 2 (i^â]/)
7*4'J
d ( çy-'Y )
3.4 da?
& 0 5 7')
— ySf d ^
J U.2.3.4.
-f- etc.
1.2 da; a
æ
da
d 2 (Ç0\'4')
.2.3 c/a 3
La loi générale de celte suite est telle que le coefficient de j n est
d(y?4')
J
1.2 da
d 2 OWO
1.2 da 2
dfo/u^'y
da