25o EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL.
La loi de celte suite est manifeste , et on voit qu’un terme quel
conque sera représente' par
(_ i y+j Ad (Ad (A. . ..cl. (<p*X A-j/ ) * i
(i.2.3. ..&) (i.2.3.. .i) c£a A+i—1 ^ *
Si on avait F(x) = x, ou si l’équation proposée était a x
~f-jy(p (x) 4 2À (x), le terme général deviendrait
(i.2.3... k) (i. 2.3.. • i) da k+l ~ l **T ^ *
99. Etant donné la fonction ^ (x), si on propose de la dévelop
per suivant les puissances d’une autre fonction de x désignée par
u, il faudra faire
4 («) = T° 4 T'« 4 T" £ + T'" ^ 4 etc.,
T Cn) = —différence n ieme étant prise
en supposant du constant, et faisant ensuite dans le résultat u~o.
A régard du premier coefficient T°, si on suppose que l’équation
uz=: o donne x—a y on aura T 0 z=.f(d).
En supposant le problème possible , toute la difficulté se réduit à
calculer les coefficiens successifs , etc. Ce calcul peut de
et on aura en général
venir prolixe dans beaucoup de cas , c’est pourquoi il importe de
faire voir comment on pent changer en general le coefficient
d a X
du n *
en un autre qui suppose constante une autre différentielle dz. Mais
pour cela il faut supposer que z ei u s’évanouissent à la fois lors
que xs=a, et qu’en môme temps le rapport ^ n’est ni nul ni infini.
Dans cette hypothèse , voici deux lemmes qui conduiront au résul
tat que nous cherchons.
100. Lemme I. Les quantités z et u étant des fonctions de x
qui s’évanouissent toutes deux lorsque x = a et qui sont telles que
dans le même cas leur rapport est égal à une quantité finie , je dis