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CINQUIÈME PARTIE. § VIE
Mais on a en général d - = n
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d n (u T p n ) . d n ~ r p n ~ r
— i n —» r ■+■ i. rfa ;_ r ;
donc
d n (Xp n )
dz n
ппо d n p n , « при d n 1 p n 1 . /г.n i rp f/ d p | p»p
expression dont le dernier terme est T (n) , et l’avant-dernier ^Т (л ~ 0 ^.
On trouvera semblablement
- Z ^ E -=(t '¥+T ud P n +rr. u ' d P°+ ctc ')
Substituant dans le second membre les valeurs que donne la formule
d n ~ l (u r dp n ) d n (u r p n )
dz a
^ *
n.n-~ I n /•+ I . dZi a-T>
dz n
il viendra
d n -\Xdp n ) rp 0 dJ l p n n T/ d n -Y~ l n.n—1 rç„ d n ~Y~
'Pc
dz n dz n
+
- T' - — - ,
i dz n ~ l 1.2
n ,n—\. Tl—2 rpv d n ~ 3 p n ~ 3 j n rpo-,) dp
,2.3
71 ГРГЛ—O
dz‘
dz n ~ 2
EL : , " T(«-1) EL
,"-з ^i
d"“ 1 (Wp n ) _
le dernier terme est ici y T^ -0 parce qu J on a ^
De ces deux formules ou tire
d"(Xp n ) d' 1 “ 1 (Xdp n ) __ (n) _ .
ck" da“ ~ du n ’
is le premier membre se réduit a -—? donc on a
o.
mais
d n X. d n 1 ( p n dX.)
du n dz n
c’est le théorème qu’il s’agissait de démontrer. Voici maintenant
quelques corollaires qui s"en déduisent.
io3. Si l’on fait z = x — a et u— x , v j on aura p — <p fx) 9
<P O)
dzz=.dx y ce qui donnera = —¿¿i-ï— ? et comme il raut
faire s = o ou x s== a dans le second membre, on considérera <p
3o