CINQUIÈME PARTIE. § X. 249
de sorte que Z sera égal au produit des deux suites
+ x , 1.3 . „
- az 7 a V
2 2.4
l+-?2 +
2 2.4
, 1.3.5 „ , . 1.3.5.7
-J- T~Tc a z +
2.4*6
"h ;
.3.5
2.4.6
£V-f
2.4.6.8
1.3.5.7
2.4.6.8
aV -f- etc.,
£4^4 0tC. J
or si on cherche , par exemple, le coefficient de z i dans ce produit,
il est visible que ce coefficient sera
1.3.5.7
2.4.6.8
(V+ê 4 ) +
1.3.5
2.4.6
~ ct£ (ct 2 -j-£ a ) -f-
1.3 1.3
— . — a 2 b a .
2.4*2.4
Mais on a aC = i , a 2 + £ a = 2 cos 2<p , a 4 -f- =^= 2 cos 4<P i
donc
X 4 =
1.3.5.7
2.4.6.8
2 cos 4<p
1.5.5 1
2.4.6 2
2 COS 2<p “f-
i,3 1.5
2.4'2.4*
On voit par cette expression que la plus grande valeur de X 4 a lieu
lorsque <p = o ou x = 1 ; et dans ce cas, elle se réduit à l’unité :
dans tout autre cas , la valeur de X 4 sera donc moindre que
l’unité.
On trouvera un semblable résultat pour la valeur générale de X",
qui sera toujours de la forme A cos n<p-f-B cos (n—2) <p-f-G cos (n—4)<P
+ etc., A, B, G, etc. étant des coefficiens positifs.
Le même théorème s’applique aux valeurs négatives de x 3 com
prises depuis x = o jusqu’à x =— 1 , puisque ces valeurs sont tou
jours représentées par cos<p, en faisant varier <p depuis —
jusqu’à ç = tT. D’ailleurs on voit immédiatement qu’en changeant
le signe de a?, la fonction X" reste la même lorsque n est pair, et
qu’elle change de signe, en conservant la même valeur., lorsque n
est impair.
124. Théorème II. « Les indices m et n étant inégaux , l’intégrale
» fX m X n dx, prise depuis x =— 1 jusqu’à x — -j- 1, sera toujours
}) nulle ; si ces indices sont égaux, on aura entre les mêmes
» limites, fX n X a dx =——.
J 071. J. 1
3a