CINQUIÈME PARTIE. § X.
Changeant le signe de p > on aura de même
'i = î_ (r-e ~ « y
— ap 2 y 2 ) J o.p j/a ^ r '
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/( V/('
+ p*-\r9.py — apy
Donc l’intégrale cherchée W
l’arc £ en fonction de sa tangente , on aura
pV a
; substituant l’expression de
W
V 3*1
ay
etc
•>
V/'( 1 -f- a) V,* 3 * 1 -f- a 5 ( 1 + a ) !
Comparant cette valeur avec celle que nous avons déjà exprimée
par les intégrales Y n , on aura
y* (— a ) k
(afe-H 1) (1 +«) A + ÏÏ
conformément au théorème qu’on voulait démontrer.
Au reste ce théorème n’est remarquable que par la simplicité du
résultat -, car si au lieu de X 2 * on prend un polynôme quelconque P
de la forme Aa^-f-Ba: 3 *“ 3 -f- Ga: 3 *- 4 -f- etc., l’intégrale f ——7
J (1 -fax 3 ) a
pourra toujours se réduire à la forme fYdj, où Y sera de même un
polynôme de la forme A'j ik -\-B'j 2k - 2 etc.; il suffit pour cela de
fairejr = ou x ainsi cette intégrale, prise
entre des limites quelconques, sera toujours une quantité algé
brique.
i33. Considérons de nouveau la fonction Z = ( 1 — 2xz~hz 2 }~ * ;
si on la différentie successivement par rapport à x et par rapport
à z, et qu’on fasse pour abréger, 1 — 2xz-j~z 2 =D 2 , on aura
dZ z ddZ 3z 2
dx D 3 * dx 2 ~ D 3 9
dZ x —
dx D 3
(■-
ddZ
1
3 (x
dz 2
D 3 1 D 5
V ddZ .
. ddZ
Q.Z 2
J dx- * du- -
~ D 3 9
dZ
dZ
2 z 2
2X 7 2Z -y- Z
dx dz
~ D 3 *
de là résulte