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EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL.
Or si on substitue cette valeur dans l’équation (d'), on trouvera
que les coefficieus h', c, etc. se déterminent par le moyen du pre
mier de la manière suivante :
Désignons donc par F* (x) ou F* la fonction
F*(x)=(i—xx
2 (sm—i)
m—k.m—k—i.m — h—2.m—k—5
_ _ - ■ ’~z\" éU
2.4 (soi-—1) (2m—3)
et nous aurons L m ’ k ~ a ,1 P h Çx) , a! étant une constante. Mais comme
cù et 4 entrent de la même manière dansjr, et par conséquent aussi
dans Y m et dans h m,k , on peut échanger enlr’elles les quantités co
et -v|x, sans changer la valeur de Y m , ni celle de L m ’*; d'où il suit
que si le coefficient est divisible par F A (x), il doit l’être aussi
par F* (/7) en faisant cos p. Donc on auraL m ’*£==« r/ F*(x).F*(ÿo),
d' étant un coefficient numérique qui ne dépendra plus que des
indices m et k. Ainsi il est démontré que chaque terme du déve
loppement de Y m se partage réellement en deux facteurs dont
l’un est fonction de x , et l’autre une semblable fonction de p.
345. Soit F*(x) = (i ■—xx) 2 G A (x), la fonction G* (x) sera
toujours rationnelle et entière , et il est aisé de voir qu’on a gé-
d G k (;r)
néralement G* +1 (x) = —~ T> . Mais lorsque A = o,
m — k
d’où l’on voit que la fonction F 0 ( x ) a un rapport très-simple
avec la fonction X w , et que d’après Féquation ( a ) du paragraphe
précédent, on a
Au moyeu de la fonction F°(x) ou F 0 , on aura successivement,