CINQUIÈME PARTIE. § XI. ayi
Z" = aX" + ( Q' cos G -f- y' sia 6 ) ÈjU sia 4
+ ( C cos 28 -f- y" sin 26) -~f~r sin 9 ^/
+ ( cos 2S -j- y" sin 59 ) sin 3 4
+ etc.
Nous allons démontrer que si les indices m et n sont inégaux, on a
en général f'T m Tj n d§dx'=.o 9 celte double intégrale étant prise entre
les limites o et 2tt pour G, — 1 et -f- 1 pour x.
D’abord il est visible que l’intégration par rapport à G , peut être
effectuée immédiatement, et ce premier résultat étant obtenu, il ne
restera plus à trouver que l’intégrale
frrrdx (\
2 dx dx v
1 ddX m ddX n
dx
+
2 " dx 2
x‘){b'ë'+c'y')
^(i-ar*)‘(AT'+ C 'V , )+e te-),
laquelle doit être prise entre les limites x=— 1, x=z -f~ 1. Mais
d’après les théorèmes des articles 124 et i54, les différens termes
de celle dernière intégrale sont nuis lorsque les indices in et n sont
inégaux. Donc on a, dans cette hypothèse ,
(n
fT' nr L n dMx = o.
J Ô = o (x —
l ô z=z 2tt tx =
X
+ r
Si l’on a ??i = n, alors en appliquant les formules que dorment
pour ce cas les articles 124 et i34 ? on aura dans les mêmes
limites :
fi n Z n dxdê —
~~ re(rt+x) (ô'b'-fcV)
+ i(«— O n (n+ 0 («4-2) (W + c'y")
4- 2) (71 1 ) 72 (77+ 1 J {il -f- 2) (il -f 3} ( b'"v"^ r c m y W )-{-etc\
Cette intégrale dépend , comme on voit , des termes semblables qui
se trouvent dans T” et Z"; elle serait nulle si aucun des termes de
T" n’avait son semblable dans Z n .
149* Supposons Z”=Y", ce qui donnera et = P n ? £= ( ~.