a 7 6 EXERCICES DE CALCUL INTÉGRAL.
connus, ne se multiplie pas dans le calcul des autres termes^
de manière à rendre bientôt les résultats entièrement défectueux.
155. Si on fait P (A) = ” ‘ 1 a ‘ —- a x . A(A), et qu’on substi
tue cette valeur dans l’équation (4), on aura
(5) C 1 +^T)) O+O A (a) + A(X-,) = o.
Cette équation exprime pareillement la loi qui règne entre trois
termes consécutifs de la suite A 0 , A, , A a , A 3 , etc. En supposant
cette suite connue, le développement de D — " serait donné par
la formule
i . 7 *a n n.n -4- i .
D _ * = A 0 +2«.- Aj cos <p + 2a • - A a cos 2<p
, , n. ft-4-i. re-4-3 . _
+ 3a 3 . — A 3 cos 3<p + etc.
Lorsque A est très-grand, l’équation (5) donne à très-peu près
A (A + i ) = A (A) — A A (A — i) ;
d’où l’on peut conclure que la série A 0 , A t , A 3 , etc, doit se con
fondre dans les termes éloignés avec une série récurrente dont
l’échelle de relation est - 1 - a -, — A • celle-ci aurait pour terme
général a -J- C Ç—ÿ , et et £ étant des coefficiens constans. Ainsi
lorsque A est très-grand, on doit avoir aussi A (A) = et -f- £ (J~^ .
Mais comme, d’après l’équation ( 2 ), la valeur de A (A) ne doit
contenir aucune puissance négative de a, il s’ensuit qu’on a £ = o.
et qu’ainsi A étant très-grand , on aura A (A) = a , ou A (A) égal
à une constante. Celte constante se détermine en faisant A infini
dans la valeur générale de A ( A ) donnée par l'équation ( 3 ) ,
laquelle est
(6)
A(A):
, n n-4-A „
i -f- -. a 2
1 A-f- 1
1.2
Tî-f-A. TL —f- A —|— 1
A-f-1 .A-j-3
# 4 -f- etc.,
et on a par cette supposition A (>) = ( i — « 2 )~ n . Mais ce résultat