CINQUIÈME PARTIE. § XII.
belle transformation j est contenue dans l’équation
tang (~(p — i <p° ) = h cot | (p.
Mais pour qu’il n’y ait pas lieu à ambiguité, quand on veut déter
miner cp° par le moyen de <p , il faut imaginer que Tare <p augmente
indéfiniment depuis la valeur zéro jusqu’à tant de circonférences
qu’on voudra. Cela posé, l’arc (p° devra satisfaire à l’équation
sin [cp j 7T — ) = a sin ( \ rt -f- t <P°) > d’où l’on voit qu’en dé
signant par G le plus petit des arcs qui ont a pour sinus, la quantité
q> -f- x ~ — ~ (p° sera toujours renfermée entre les limites -f-G et
— G , de sorte qu’on pourra supposer (p° = -f- 71 -f- G sin A ,
A étant un angle qui varie avec <p ; c’est aussi ce qui résulte de
la série
j <p° = ~ 7T -f- <p + a fi in <P + j ci % sin 2p -f- ^ a 3 sin 5<p -f- etc.
Maintenant comme a° sera toujours plus petit que «, puisqu’on a
= 1 UO—i a fonction (D°)* se développera en une suite
1 4-l/(i—a)
L 0 + 2bj cos 2L t cos2(p 0 + 2L3 cos 5<p° -f- etc.,
dans laquelle le coefficient L (k) est en général la valeur de la
fonction P( k, n) , lorsqu’on fait n =— \ et qu’on met a 0 au
lieu de a.
Dans le cas de l’exemple III, on a a° ~ o. i83o8 ; ainsi la suite
L oî L t , L 2 , etc. doit être fort convergente ; on trouve en effet le
terme L 10 = 0.00000 00007 7^3.
Cette suite étant trouvée, le développement de D 2 , ordonné
suivant les cosinus des multiples de <p°, sera
L 0 4- sL, cos <p°+ 2L a cos 2p°~h 2L3 cos 3<p°+etc.
+ 2|/a°.sin f q>°
}
{
(28) D” T =
(1— 0(1+a°)
On pourrait , pour plus de symétrie , mettre au lieu du terme
2 \/a 0 . sin j <p°, sa valeur
2 COS(p° 2 COS 2<p° 2 C0s3<p°
1.3 3.5 5.7