QUATRIÈME PARTIE. SECTION I. 5 r
forme et prises entre les mêmes limites ; d’où il semble qu’on
devrait conclure que F est nulle. Mais il faut observer que les
intégrales dont il s’agit sont toutes deux infinies, et que leur
différence, qui peut être finie, dépend de la relation qui existe
entre z et j*, et ne peut être trouvée que lorsqu’on aura écarté
les infinis de part et d’autre.
Pour cela, je remarque que p et q étant toujours supposés des
nombres entiers, on a, par les règles de la décomposition des
fractions rationnelles.
N étant un dénominateur qui ne s’évanouit pas lorsque y = i. On
aura donc l’intégrale indéfinie
f(y) étant une fonction de y exprimée en arcs de cercle et lo
garithmes, laquelle est nulle lorsque y — o, et ne devientpas in
finie lorsque y=i. On aura semblablement
f(z) étant la même fonction de z que f(y) est dey. De là ré
sulte l’intégrale indéfinie
F = /(7
ou, en mettant y n h la place de z,
F = z (~y) +/Cr) —/O")-
Maintenant si l’on fait y=i, comme on peut préalablement mettre
1 — y tt
~YZÎy sous forme i-}-y -p-./ 2 ... -hy^'j on aura la valeur
cherchée
F (a) = In ,