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QUATRIÈME PARTIE. SECTION I. 61
est négative dans toute l’étendue de la première période, et qu’elle
est infinie aux extrémités de celte période.
Si dans la même équation l’on met i à la place de x 9
on aura
r(- I -x)=- r ^r(-o:) = j Tr ^ 5 r( I -x) J
d’où il suit que la fonction F (— a) est positive dans la seconde
période, depuis a = i jusqu’à az= 2 , et que dans ces deux limites,
elle est infinie.
Mettant dans cette dernière équation i+^au lieu de x , on
aura encore
F (— 2— x)
(i-f.r) (2+a?)
r (—x) = —
F ( 1 — a?)
x (1 +or) (2 -\-x) y
d’où il suit que la fonction F(—a) est négative dans la troisième
période, depuis a=. 2 jusqu’à a = 5, et qAelle est infinie dans
ces deux limites.
En continuant ainsi, on voit que la fonction F (—a) sera infinie
pour toutes les valeurs entières de a, et qu’elle sera alternativement
positive et négative dans les périodes successives.
(69). La courbe dont les ordonnées représentent T (oc) , est donc
composée , dans le sens négatif, d’une infinité de branches séparées
par des asymptotes perpendiculaires à l’axe des x , et menées
successivement aux distances x=o, —1 , —2, —5, etc. Ces
branches qui touchent chacune des asymptotes, sont situées alter
nativement d’un côté et de l’autre de l’axe ; de sorte qu’il y a dans
chacune un point où la fonction F est un minimum.
La fonction Ta étant supposée connue pour toute valeur positive
de a , on en déduit aisément par les formules précédentes, l’ex
pression de toute fonction de cette sorte où a est négatif ; car on
a en général, k étant un entier quelconque, et x un nombre
moindre que Funité ,
F (— k — x ) =
(— 1 ) ,i4 ' l r (1 —a:)
x(i-f-.r)(2-j-.x) (&-{■■
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