SUPPLÉMENT.
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Çùùdùù L'Y ^ ^(l -f- Sm a £ silPa)
J v \Sin a »—SIn 2 */ 4 V '
$TCOS 5 £
|-—JV C ë) + n(— sin%. 0, en,
' 2 Sin 6 COS fit L ' 7 ' 1 ' S >} ^ JJ 9
où l’on a c
sin y
et cos >
sin C 9 '
cos C
(26). Il ne sera pas inutile de faire voir comment on peut parvenir
à ce résultat par une route fort différente. Pour cet effet, appe
lons Z l’intégrale inconnue,
J r \sm% — sin
Prise depuis ¿y = a jusqu’à &) = £, on aura (parce que la quan
tité sous le signe est nulle à la première limite de l’intégrale),
dZ
cia
= — Sin Cl COS
P a du
MN
7T SU! CC -w—t * Aj \
“ F ( c >
Réciproquement, Z pourra se déduire de l’intégrale suivante,
prise par rapport à a,
r f — da sin aF (c, £).
2 Sin I
Il s’agit donc de trouver l’intégrale f—da. sin a F (c , £) que,
pour abréger, je désignerai par Z'; mais comme F (c, Q lui-
même peut se mettre sous la forme f 9 P ourvu qn’a-
près l’intégration on fasse <p = £ ; on pourra, dans cette suppo
sition, écrire ainsi la valeur de Z',
rj, PP— depd-x sin et PP —dçdct sin et cos et
JJ t/C 1 — c 2 sin 2 <p) JJ
U(C0S a (p COS a * + C0t 2 £ sin a 0 sin a £t)'
Prenant d’abord Fintégrale par rapport à a, on aura
'dq>\/(cos*<p cos^a -f- cot a £ sin 2 p sin 2 *) ^ cos at.Adcp
r
C0S a 9 — COt 2 £ sin 2 (p
sin 2 J/
Sin iÿ
sin a £
et parce que c a = , cette intégrale devient
cos a sin^F -f- eos a cos^n^—¡¿^)*