Cette quantité, développée suivant les puissances de ^ = u, sera de la
forme A u -j- Bzî 4 -f- Cm* -f- etc. > et il est visible qu’on a A =
Z* z 4
D’ailleurs, les autres termes de la série, dus aux facteurs y , y , etc. ,
étant développés semblablement, on verra aisément qu’ils ne contiennent
que des puissances de u de plus en plus élevées; ainsi le coefficient A
égal à — 2C t est le seul qui entre dans la valeur de la quantité dé
signée par nX, et l’on aura par conséquent IIX = — 2c l .
Cette valeur ne s’applique qu’à la première fonction de la seconde es
pèce, désignée par <\J, a .r= J'—; on trouverait, par un calcul sem
blable, mais dont le résultat est moins simple, la valeur de nX, qui
s’applique à la seconde fonction de seconde espèce désignée par
. r x^dx
^ ,x = J
Exemple I er .
282. Supposons, comme dans l’art. 261, t = ï ; on a vu que les
racines x = — et, x ~ — £ , qui résultent de cette supposition, satis
font à l’équation
— ÿa === \ ' v | // *
Si nous passons maintenant des fonctions -ф de la première espèce aux
fonctions -ф, de la seconde, on devra avoir l’équation
= const • — 20 1-
Or, dans l’exemple dont il s’agit, onac =
= — ? donc le second membre de l’équation précédente doit
être const, + ( m + 0 ; c’est ce qu’il s’agit de vérifier.
Томе III.