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TROISIÈME SUPPLÉMENT. 3o 7
P , m + \
2 Ct b + CL b = ,
2&ê — a a — m - (2a — £) = m — 2.
Supposons qu’on connaisse les deux valeurs approchées a = 0.89647»
£ = 0.89085, la substitution de ces valeurs donnera
2.ct — g _p. a a g = m 1 — D, D' = 0.00000 48487 5,
2a g——^L_ZU^( 2a — g) = m — 2—D', D' = 0.00000 8i2o3 i.
Pour faire disparaître les différences D et D', nous mettrons a (\ x) à
la place de et et g (r -f-jr) à la place de £, et il faudra satisfaire aux
équations
(2et + 2& a g) .r — (6 — rJ *£)j — U ,
\2etQ — 2a* — (m —-1) a] x + {zetG 4“ ~ ~7 = D',
qui, en substituant les valeurs numériques, deviennent
(3.22481 828) œ — (0.17491 086} j = D,
(1.11817 4' 00 — (2.14781 618) y = — i)'.
On en déduit les deux suivantes,
oc — (o.o5423 90) j = 0.00000 i5o55 7,
æ — (1.92082 45) j — — 0.00000 72621 2,
et enfin
x = 0.00000 17582 8,
j — 0.00000 1 1 ;
de là les valeurs corrigées
et = (0.89647) (l + Je) = 0.89647 15762 45,
g = (o.8go85) (1 + y) = 0.89085 4 T 835 5;
on aura en même temps l’ordonnée jninimum
c = 20t. — Q — ( m ~7~") == °* -‘ 2 64o5 49802 10.
Voici maintenant le calcul des deux fonctions 4 4^> °ù l’ on ^mar
quera que la précision n’a été portée que jusqu’à la huitième décimale
au plus, à cause du peu de convergence des séries employées dans ces
calculs.