PRÉFACE
DE L’ÉDITEUR.
On trouvera la vie de Montucla à la fin du quatrième vo*
lume. On verra dans celui-ci ( page 336 ) les motifs qui me
portèrent à entreprendre la publication de cette Histoire, après
la mort de mon ami $ et à la page 342 , les premiers soins
que je pris pour la perfection des articles qui n’étaient pas
de mon ressort. Arrivé à la fin du premier livre (page 426),
je voulois faire suivre la Mécanique , et je comptois sur le
secours du cit. Dillon qui me l’avoit promis 5 mais ayant fait
des efforts inutiles pour l’obtenir , je me déterminai à y mettre
l’Optique , pour laquelle cit. de Fortia commença un travail
qui devoit être intéressant ( page 4 2 7 )• On verra ( page 483 )
que je fus bientôt obligé de le remplacer ; et de finir l’histoire
de l’Optique, peu avancée dans le manuscrit ( page 496). On
y trouvera cependant des articles qui paroîtront peut-être trop
longs ou trop peu intéressans 5 tel est celui des pages 5ç4 9
697 , au sujet de la bête féroce dont mademoiselle de Corday
d’Armont, jeune et belle héroïne, purgea la terre le 14 juillet
1793, en sacrifiant sa vie avec un courage dont aucune femme
ne lui avoit donné l’exemple dans l’histoire.
Dans le temps où j’attendois les secours dont je viens de
parler , je réservai la fin du troisième volume pour la Méca
nique , et je fis imprimer le quatrième, parce que l’histoire de
l’Astronomie étoit la partie la plus facile pour moi.
Tome IIL a