a8o HISTOIRE
énoncés dans cet article, que celle de sin. y est dy cos. y ,
et que celle de cos. y = — dy sin. y : voyez-en la démonstra
tion dans la note relative à cet article. Au reste, ces expressions
coïncident avec celles qui résultent du calcul ordinaire, en sup
posant l’abscisse x prise du centre, et le rayon = 1 ; car dans
ce cas , la différence de l’arc y est dy — —*===', donc multi
pliant de part et d’autre par ~V 1 -—xx, on a dyV i — xx—dx.
Or Vi — xx est le co-sinus de l’arc y et x son sinus , d’où
dy cos. y^zzd. sin. y ; et l’on trouve de la même manière que
—- dy sin. y est la différence de cos. y.
Puis donc que y exprimant l’arc, dy cos .y est la différence
de sin. y , et — dy sin. y celle de cos. y , on aura , vice
versa, Sdy cos. y — sin. y et S — dy sin. y = cos. y , ou S dy
sin. y——cos. y. Nous faisons abstraction de la quantité
constante à déterminer par les circonstances du problème.
On trouve de la même manière que
S.
dy
cos. y
S. Jz-
sin, y
S. dy
cos. y 1
S.-,
dy
s » n - f
S. dy cos. my.
S dy sin. my. .
f io g . : +s:n - - v
i log
sin. y
I •— cos. y
i -p co 1 , y*
tang. y.
co-tang. y.
sin. my
cos. my
S. -¿4. .
cos, y 1
S. JZ-ï . .
sm. y
ly -f- C °S' 2 y
" 4 ’
iy — sin. iy
S. dy sin. y cos. y ■=.
COS. y
S. dy
S- dy
sin. y
cos. y
cos. y
sin. y
= log. COS. y.
= log. sin. y.
&c. &c.
Au reste , ce n’est - là qu’une petite partie , et à parler
franchement la plus simple , de la multitude de formules de
ce genre, dont l’intégration a occupé les analystes. Mais l’objet
de cet ouvrage n’est pas de faire un traité sur cette matière.
Nous nous bornerons par cette raison à une dernière forme ,
telle que celle-ci : —^ os Il est aisé de voir qu’on pourra
parvenir à l’intégrer, en développant ■■ + en série de sinus
et