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THEORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
Donc, en désignant (fig. 86) par U'; la valeur de U ; en M', on peut
écrire :
w i + 1 = u i + 1 = /u;dO'.
./(S)
Si M se déplace sur S, U i + 1 varie et
atteint son maximum G i + 1 en un cer
tain point M 0 et son minimum H i + 1 en
un certain point M r Appelons alors :
— 2-d8', — 2irdBo, — 2-dQ,'
les angles solides sous lesquels do/
est vu respectivement des points :
M, M # , M r
G i + i= Cv!d%
J(S)
H 1 + 1 =r U(d9(.
s)
¥ig. 86.
Dans ces conditions
Or :
Donc on peut écrire
On en conclut :
D’où :
Gj = / G-dlIo
J (S)
n i= r iijdo;.
S)
Gi — G i + i — f (G, —Ui)de;>0.
c/(S)
Gi > Gj + 1 .
Ainsi les quantités G t vont en décroissant quand i augmente.
On voit de même que les quantités IIj vont en croissant quand i
augmente.
D’autre part, on a :
de;>Mdo/