RESOLUTION DU PROBLEME DE DIRICIILET
inférieurs à G 0 qui vont toujours en croissant ou, du moins, qui
ne décroissent jamais. Donc les deux suites G¡ et 11¡ sont conver
gentes. Mais la différence :
G¡ - H,
reste toujours positive et tend vers zéro quand i augmente indéfi-
niment. Donc les deux suites G¡ et ll¡ définissent la même limite.
J’appellerai C la limite commune des deux suites G¡ et ll¡.
142. Premier cas. — C = 0.
On a constamment :
G i >C>H i .
Si on suppose :
on peut écrire :
Mais on sait que :
Donc :
c = 0,
Gj> 0, »¡<0.
G, — 1I¡< A¡J. 1
Gj< Aja*
— Ilj < Ap. 1
dans le cas actuel. En d’autres termes, les séries :
SG,
et :
SII,
convergent à la façon d'une progression géométrique décrois
sante.
D’autre part :
Vi — V' ï = V i _i + V / i _ 1 =2Ui_i
et :
V.+Vi , Y, —y,
\\=
v , .=-
2 2
V, + V. V. — V'i
2
2
U, + U¡ _ t
U, — Ui-,.
I :
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