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THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
c’est-à-dire :
C’est précisément, au facteur près, la densité delà simple
couche à laquelle est dix le potentiel T ; . Donc quand on connaît
T._,, on peut calculer Tj. D’ailleurs on a:
et :
W„ = f f I»dO'.
J(S)
Par conséquent, <I> étant donné, on peut trouver AA u ; on en
déduit C \^° ; d’où T. et, de proche en proche, toutes les fonc-
dn
tions Tj.
Tout ce qui précède suppose, bien entendu, que l’on ait :
C = 0.
Si cette condition est remplie, il est clair que Tj tend vers
zéro quand i augmente indéfiniment, puisque Ton a :
Ti = W, —Wi_i
à l’intérieur de S et :
Ti = Wi + \\ ¡_ i
ii l’extérieur et que les séries :
^(w. + w.)
sont convergentes. De même :
O
dV
dn ’