336
THÉORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
Voyons ce que deviennent J et .1 dans notre nouvelle hypothèse.
On a d’abord :
a " /
•AS)
V[ ^ dw+a?J f(v
P + 1 ! v 1' \ A. „
"^ + 1 'diT> d(0
[y ».
'(S)
P +
p dn
dvp+i
dn
(ho
c’est-à-dire :
J ïrfj J 2p + , -f- 3-J 2p + o
si l’on remarque que :
D-% d “=i v -" a,,
dV„
dto = J 2[)+1 .
De même :
'(S)
'(S)
dV„
P*/’
^(S)
p + i
D’où :
- ' p-
dn
d Vp + i
(1(0.
dn
•'■> P + 1 +
^J:
, y/ , P \
+Vp+1 dn )
(1(0
Finalement, on peut écrire :
J = a _ .i Sl , -+- 1 a3 J 2p + 1
2p+2
0
= +.2a3J'+p*J' ,^0.
11 résulte de là (pie .) et J 7 sont des formes quadratiques définies
positives des variables a et ( 3. On a donc, en considérant leurs
discriminants :
J 2p f 1 *^2p ’hp + t < ^ •
l'ï 1' y <-0
•’2p + l "’¿p •’2p+ 1 \ .
Ces inégalités suffisent pour montrer que les séries :