THEORIE DU POTENTIEL NEWTONIEN
Or, il est facile de développer W suivant les puissances crois
santes de z : appelons a le rayon du cercle C ; puisque le point M
est intérieur à ce cercle, on peut tracer une deuxième circonfé
rence G', concentrique à la première, dont le rayon sa est plus
petit que le rayon a de C et telle que le point M soit à son inté
rieur. On a donc :
(i)
< sa < a < p' et s < 1 ;
on a d’ailleurs
r.
0
Z Z
Or, d’après les inégalités (i), on a
on peut, par conséquent, développer log^l— —jeu série entière
et écrire :
z
O
Gette série est uniformément convergente pour tout point 1*
de l’aire S, car, pour un quelconque de ces points, les inégalités ( 1 )
et (2^ sont satisfaites; on peut donc intégrer cette série terme à
terme et écrire
les intégrales doubles étant étendues à l’aire S. \Y est ainsi
développé en série entière ; on en conclut sans peine le dévelop
pement de \ en série de polynômes homogènes. On a, en effet :
<■) désignant l’argument de z. On peut donc poser en outre :