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NOMOGBAPHIE
men'alement, entre les lignes eilectivement tracées d’un
certain faisceau, celles qui correspondraient à des cotes
intermédiaires, est sensiblement plus délicate et exige
une attention bien plus soutenue que celle qui ne porte
que sur la graduation d’une échelle.
3° Dans le cas où il est utile de recourir à un frac
tionnement (n° 5i), il est, en général, nécessaire de
figurer les abaques partiels sur autant de feuilles dis
tinctes.
4° Enfin la représentation par lignes concourantes ne
s'applique, pour plus de trois variables, qu’aux équations
engendrées par de simples substitutions successives de
fonctions de deux variables (n° 57).
Parmi les désiderata que font naître ces diverses
remarques, le dernier seul se lie intimement à la nature
mathématique de la méthode employée et exigera une
réforme profonde de
celle-ci. Les trois
précédents peuvent,
au moins en certains
cas, recevoir satis
faction grâce à di
vers artifices ne mo
difiant pas le carac
tère essentiel de la
représentation,
Pour ce qui est
des deux premiers
inconvénients signa
lés, on arrive aisé
ment à les faire dis
paraître en ce qui concerne les faisceaux (zî) et (¿2),