LIGNES CONCOURANTES
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Xi et O2X2, par
adués suivant les
a résulte néces-
t reconnu deux
2, z\ satisfaisant
îs Ii et I 2 d’une
■e, par les points
contre de I3 avec
rminent entière-
hexagonaux peut
ainsi qu'il suit :
ice O£ aux points
l 2 ; on a donc :
ons faite sur les
léterminés sur les
vons, puisque les
îo° :
¿s hexagonaux,
sous le i° et le
nsparent à deux
e transparent à
cas des abaques
ue vise le 3° ;
susceptibles de
fractionnement sur une seule et même feuille. Cela est
évident a priori, puisque les divers systèmes de lignes,
dont la superposition doit être évitée dans le cas général,
n’existent plus dans ce cas particulier, où ils sont rem
placés par les index du transparent, et que les échelles
destinées à fixer la position de ces index peuvent être
disposées parallèlement les unes à côté des autres.
Supposons, par exemple, qu’un des abaques partiels
s’étende pour z t de la valeur z\ à la valeur z\ et pour z 2
de la valeur z' 2 à la valeur zf2 ; 0' et O" étant les
positions extrêmes
correspondantes du
centre du transpa
rent (fig. 96), z' 3 et
z", les valeurs de z 3
pour les couples de
valeurs z\, z' 8 et z\,
z\ de Zi et z 2 , on
en déduit, comme
il a été dit à la fin
du numéro précé
dent, le fragment
correspondant de
l’échelle (z 3 ) que
nous désignerons
par AiA 2 , si Ai et
A, servent à désigner les fragments considérés des
échelles (zj) et (Z2).
Associant deux à deux de cette façon les fragments
A t , B 1} ... de l’échelle (zi), disposés sur des parallèles
à Ox, et ceux A2, B 2 , ... de l’échelle (z 2 ), disposés
sur des parallèles à Gy, on obtient sur des parallèles au