LIGNES CONCOURANTES
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espondants A^,
échelles simples
i° 56), on obtient
>rme
1 abaque. Suppo-
mant les valeurs
ille obtenir celle
la sixième. Le
tnsparent étant
nvenabl ement
:enté, on fera pas-
' les deux pre-
ers index respec-
ement par les
ints [z lf z 2 ) et
, Zi.) des échelles !
îaires correspon
des. Le troisième
lex rencontrera la
ne (z 5 ) de la troi-
me échelle bi-
re en un point
)te sera la valeur
¡ue M. E. Prévôt a
s. M. Lallemand a
)les rentrant dans le
mment des échelles
éviation du compas
Enfin, grâce à la symétrie des trois axes auxquels
on les rapporte, les abaques hexagonaux permettent,
par de simples déplacements du transparent, parallèles
aux directions de deux de ses index, de multiplier indé
finiment le nombre des entrées et de représenter des
équations de la forme
(0 /1 +/2 + /s “1“ ••• ■+*/«== °-
ou
(l bis) /12 +/34 +./56 ■+■ •••fin— l)2n = O,
lorsqu’on fait intervenir des échelles binaires.
Pour s’en rendre compte, il suffit d’introduire les
variables auxiliaires <p 3 , ©4., <p B , ... définies parles éga
lités
/1 -+• /2 + <p3 = O,
?4 7*3 'fs — °»
?4 +/4 -+- ?S = °*
Ÿ6 — /5 + 9s ==
dont l’élimination (lorsqu’on fait la somme de toutes ces
égalités après avoir multiplié celles de rang pair par
— 1) redonne bien l’équation (1) ci-dessus. Or, pour la
représentation de ces équations successives par des
abaques hexagonaux, une même échelle (<p) peut inter
venir dans deux consécutifs de ces abaques. On pourra
prendre, par exemple, la même échelle (©3) pour les deux
premiers, la même échelle (<p 4 ) pour les deux suivants,
et ainsi de suite.
On pourra ainsi disposer les échelles (z 2 ), (z 3 ), (z4),
(z 8 ), ••• de f 2 , — /3, fi, — / 8 , ... parallèlement à Oæ
(fig. 98), celle (zi) de/i, ainsi que celles de ç*, fe, ...