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NOMOGBAPHIE
parallèlement à 0y, celles de <p 3 , © 5 , .
0/. La dernière équation écrite sera
parallèlement à
ou
flV f*P-1 ?2p-l °>
?2p H-/2p + fîpJri =
suivant que n sera pair pour {n — ap),
ou impair (n = ip 1).
Dans le premier cas, on voit que l’échelle (z 2î> ) sera
portée parallèlement à Oj | et, par suite, à l’échelle (zi)] ;
dans le second, que l’échelle (z 2p +i) sera portée parallè
lement à 01.
Cela fait, si, en entrant dans le premier abaque par
les valeurs de z* et z 2 prises sous les index I, et I 2 , on
suppose marquée l’échelle © 3 , on
lira sous l’index I 3 la valeur de
cette variable auxiliaire ; mais il
n’y a à cela aucune utilité, cette
valeur devant servir d’entrée dans
le second abaque, il faudra, pour
aller prendre sur celui-ci la valeur
de z 3 sous l’index I2, faire sim
plement glisser l’index I 3 sur lui-
même, c’est-à-dire déplacer le
transparent parallèlement à la
flèche F' ; de même, pour passer
Fig. 98.
du second au troisième abaque, il suffit de faire glisser
le transparent parallèlement à la flèche F", et ainsi de
suite. On voit ainsi qu’il est tout à fait superflu de tracer
les échelles de <p 3 , <p 4 , ... l’élimination de ces variables
auxiliaires étant réalisée simplement par les déplacements
successifs di
flèches F' et
En résun
(z n ) [ou les
d’une équati
comme il vi
se réduira à
Faire pas
blemenl orit
puis, en doi
nativement j
I 2 à passer
z n -1. Qaam
que n est p
cote est la 1
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sagé pour
d’équation
étudié au
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relatifs à
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s’effectue 1
auxiliaires
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ici.