Full text: Calcul graphique et nomographie

LIGNES CONCOUllANTES 
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. parallèlement à 
o, 
échelle (z 2p ) sera 
à l’échelle (zi)] ; ; 
a portée parallè- 
nier abaque par 
index I, et I 2 , on 
3 l’échelle cp 3 , on 
I3 la valeur de 
txiliaire ; mais il I 
nne utilité, cette | 
vir d’entrée dans 
!, il faudra, pour 
celui-ci la valeur 
3x I 2 , faire sim- 
index I 3 sur lui* 
ire déplacer le 
dlèlement à la 
me, pour passer 
de faire glisser 
1 F", et ainsi de 
jperflu de tracer 
de ces variables 
es déplacements 
successifs du transparent, parallèles alternativement aux 
flèches F' et F". 
En résumé, les diverses échelles (zi), (zs), (z 3 ), ... 
(z n ) [ou les échelles binaires correspondantes, s’il s’agit 
d’une équation de la forme (1 ¿us)] ayant été disposées 
comme il vient d’être dit, le mode d’emploi de l’abaque 
se réduira à ceci : 
Faire passer les index I t et I 2 du transparent convena 
blement orienté respectivement par les points cotés z x et z 2 , 
puis, en donnant à ce transparent des translations alter 
nativement parallèles aux flèches F' et F", amener l’index 
I 2 à passer successivement par les points cotés z 3 , z* ... 
z„_j. Quand on en est arrivé là, l’index Ii ou I 3 (suivant 
que n est pair ou impair) passe par le point z n dont la 
cote est la valeur cherchée. 
Remarquons que le mode de représentation ici envi 
sagé pour certain type, assez particulier d’ailleurs, 
d’équation à n variables rentre dans le type général 
étudié au n 0 57 h L’abaque obtenu peut, en effet, être 
considéré comme résultant de l’accolement d’abaques 
relatifs à un certain nombre d’équations à trois va 
riables, les unes figurant dans l’équation donnée, les 
autres introduites à titre auxiliaire, ces abaques ayant 
deux à deux un faisceau de lignes commun par lequel 
s’effectue l’élimination graphique de l’une des variables 
auxiliaires. A ces faisceaux éliminatoires (qui, pour 
le dernier type d’abaque envisagé, se réduiraient à des 
faisceaux de droites parallèles à deux directions fixes, 
1 II convient d’ajouter qu’il a été imaginé par M. Lallemand, 
indépendamment de la théorie générale à laquelle nous le rattachons 
ici.
	        
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