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NOMOGRAPHIE
Ils vont l’être, par la méthode que nous allons main
tenant étudier, pour les équations beaucoup plus géné
rales de la forme
fi gi hi
fi 92 h * = o,
/3 i/3 h
ou, suivant la convention posée plus haut (p. 190),
| /, : g t h, | = o.
En outre, cette méthode donnera, pour la première fois,
satisfaction au quatrième desideratum ci-dessus 1 .
D’après ce qui a été vu au n° 53, une équation de la
forme ci-dessus est représentable par un nomogramme
formé de trois faisceaux de droites (2), (22) et (23), et
lorsque trois droites, prises respectivement dans ces
faisceaux, ont pour cotes un système de valeurs de
2i, 2 2 , 2 3 satisfaisant à l’équation donnée, ces trois droites
sont concourantes.
Effectuons une transformation dualistique de la figure
(n° 2) en appliquant à chaque point ainsi obtenu la cote
de la droite dont il est le corrélatif. Dès lors, aux trois
précédents systèmes de droites seront substitués trois
systèmes de points (fig. 99), constituant trois échelles à
support rectiligne ou curviligne (suivant que les faisceaux
corrélatifs sont convergents ou tangentiels), et lorsque
trois points, pris respectivement sur ces échelles, auront
1 Une confusion entre l’ordre logique et l’ordre historique a pu
faire croire que la méthode des points alignés est venue après celle
des abaques hexagonaux. C’est là une erreur que nous avons déjà
eu l’occasion de rectifier. Voir O., 7, note i, en bas de la page i5i.
Le principe de la méthode des points alignés a été publié en i884
(O., 1), celui des abaques hexagonaux en 1886 ^Lallemand, 2).
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