a66 RECHERCHES
devra tomber entre les limites c zp «, sera évidemment
P = r + 'fzdz.
J c — s
Or, pour [jl = i, on a, d’après les formules (5) et (4),
et en intervertissant l’ordre des intégrations relatives à or et z, et faisant
disparaître les imaginaires , cette expression de P pourra s’écrire
ainsi
P =i/T zitdx- r
TT J a L J O X J O
sin (c—6—z)x
- dx ~^fzdz.
Mais on a, comme plus haut,
= =b
selon que la constante y est positive ou négative ; la différence des
deux intégrales relatives à x sera donc nulle ou égalé à 7T, selon que
les deux quantités c + s —z et c — e— z seront de mêmes signes ou de
signes contraires; par conséquent, l’intégrale relative a z se réduira à
zéro pour toute valeur de z qui sera, ou plus grande que c -f- g, ou
plus petite que c — e ; elle ne devra donc s’étendre qu’aux valeurs de z
comprises à la fois entre a et b, et entre c — g et c -f- e ; et puisque
nous regardons^z comme nulle pour toutes les valeurs de z qui tom
bent hors des limites a et b, la valeur de P se réduira à l’intégrale
def t zdz f prise depuis z=c -— s jusqu’à c + e; ce qu’il s’agissait de
vérifier.
(ioi). Lorsque ¡x sera un très grand nombre, on pourra, par des
transformations semblables à celles du n° 95 * changer la formule ( 4 )
en une autre qui fera connaître la valeur approchée de P.